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Dans le n° 136 - Février 2022 - Médecines complémentaires

Un groupe d'Ehpad agit avec la chiropraxie

Par Laure Martin 

Un groupe d'Ehpad engagé pour la qualité de vie au travail a fait appel à l'Agence des médecines complémentaires et alternatives (A-MCA) pour prévenir les troubles musculo-squelettiques (TMS) de ses salariés, réduire leur stress et contribuer à leur bien-être.

L'Association arménienne d'aide sociale (AAAS), qui assure la gestion de trois Ehpad, a souhaité travailler sur le mieux-être de ses salariés en leur proposant des activités faisant appel aux MCA. Cette action, soutenue financièrement par la Fondation de France, est conduite en partenariat avec l'A-MCA, lieu d'expertise dans le domaine. « Ce partenariat était essentiel pour identifier la pertinence des pratiques, définir l'objectif de chaque séance, s'assurer de la qualité de leur contenu et sélectionner les bons praticiens, expose la direction générale du groupe. L'A-MCA nous accompagne pour construire un programme de qualité en QVT en cohérence avec les besoins de nos salariés. »

Trois types d'activités

Trois objectifs ont été fixés : diminuer le stress et l'angoisse des salariés avec la sophrologie, prévenir les troubles liés aux carences d'hygiène de vie et de comportement alimentaire des soignants avec des formations sur les règles hygiéno-diététiques et enfin accompagner les TMS des soignants en mettant en place une activité de soutien corporel via des séances de chiropraxie. « Face à l'engouement des soignants pour la chiropraxie, nous sommes passés de deux à trois sessions par mois », fait savoir Guy Tcheuffa, directeur de l'Ehpad de Montmorency. Et d'ajouter : « De toutes les activités proposées, il s'agit de celle pour laquelle nous avons une liste d'attente, ce qui est révélateur des attentes des salariés. »

Agir en prévention

La prévention des TMS s'avère fondamentale « parce que les métiers du soin sont stressants et générateurs de tensions », rappelle le directeur. Autant de contraintes ayant un impact sur les douleurs dorsales notamment. « De nombreux soignants sont concernés par ce type de maux, et d'après les retours qu'ils nous font, la chiropraxie a un impact positif sur eux », fait savoir Guy Tcheuffa, précisant que les salariés sont également satisfaits de se voir offrir de telles séances sur leur temps de travail. Avant leur mise en place, la direction a organisé une réunion afin d'informer les salariés sur les tenants et aboutissants de chaque pratique. Ils étaient alors peu nombreux à avoir déjà testé la chiropraxie. « Les premiers à avoir essayé se sont ensuite rapidement inscrits à d'autres séances », révèle le directeur d'Ehpad. Après un bilan d'environ une heure, les séances suivantes sont d'une durée moyenne de 30 à 45 minutes, permettant au chiropracteur de voir entre cinq et six soignants par session. « La prévention des TMS relève de la responsabilité des directeurs, soutient Guy Tcheuffa. D'ailleurs, cette action fait partie, depuis plusieurs années, de notre plan de formation vis-à-vis des soignants. La nouveauté avec ce partenariat, c'est le lien avec les MCA ! 

 

Nouvel article paru sur le site Wopilo.com
Rédigé par votre Chiropracteur, Nicolas

Les douleurs aux lombaires : comment les soulager ?

Le terme lombalgie désigne une douleur localisée dans le bas du dos, au niveau des vertèbres lombaires. Deux types de lombalgies sont à distinguer : 

  • Les douleurs lombaires aiguës, très connues dans la population sous le terme « lumbago ». Les douleurs peuvent être localisées, ou bien irradiantes, dans les jambes, appelées « sciatiques ». 

  • Les lombalgies chroniques lorsque la douleur persiste plus de 3 mois.

La plupart du temps, les lombalgies sont sans gravité, ce qui ne remet pas en cause l’importance de la douleur. Mais parfois, les douleurs sont d’origine pathologiques (la hernie discale / la scoliose / l’arthrose / l’ostéoporose ) d’où la nécessité de consulter un professionnel qui saura vous orienter.

Interview de Clémence Moulon par Vanilla Milk

Après une césarienne ou un accouchement difficile, nombreux sont les bébés qui souffrent de tensions pouvant notamment entraîner difficultés de succion, douleurs gastriques, torticolis ou autres problèmes de mobilité. Face à ces inconforts des premiers mois qui peuvent compliquer l’allaitement, la chiropraxie s’avère une solution efficace — bien que peu connue.

Pour découvrir cette discipline, nous avons échangé avec Clémence Moulonchiropracteur* spécialisé dans la prise en charge du nourrisson, du bébé et de la femme enceinte.
Grâce à elle, nous apprenons ce qu’est la chiropraxie et en quoi elle peut accompagner les bébés et les mamans pour un allaitement réussi.


Bonjour Clémence et merci d’avoir accepté cet échange. Pour commencer, pourriez-vous vous présenter en quelques mots ?

Bonjour ! J’ai 30 ans (...)

Hernie Discal : des résultats très positifs

Une étude scientifique d’intérêt «  Incidence of Spontaneous Resorption of Lumbar Disc Herniation: A Meta-Analysis » (1)  vient d’être publiée sur l’incidence des résorptions non chirurgicales des hernies discales lombaires. Elle fait actuellement beaucoup de bruit dans le domaine médical. 
Il s’agit d’une revue systématique de la littérature scientifique avec méta-analyse des différentes études cliniques publiées sur le sujet. Ce type d’étude est considéré comme constituant le plus haut niveau de preuve en matière scientifique. La méta-analyse, se propose de tirer une conclusion globale en combinant les résultats de plusieurs études indépendantes.

Conclusion après analyse : Il apparaît qu’en moyenne 66.66 % des hernies discales lombaires se résorbent sans chirurgie . Une étude anglaise s’étalant sur 56 mois (la plus longue de ces 5 études) , a retrouvé une taux de résorption de 83 % !
Dans leur discussion, les auteurs insistent sur ce taux de résorption important pour rendre prioritaire le traitement conservateur (non chirurgical) . L’économie réalisée sur les coûts est dans l’intéret des patients , des organismes d’assurance et de la société en général. Les chiropracteurs tiennent historiquement une place centrale dans la prise en charge conservratrice de ces patients
 

Cette étude est extrèment positive, et doit pouvoir rassurer d’avantage nos patients. Nous avions déjà publié un petit article ( Pourquoi ne pas focaliser sur votre hernie discale?) afin de relativiser les craintes face à cette pathologie, voilà encore d’avantage d’eau apportée au moulin de la démystification de la hernie discale …
(1) Source : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/28072796

Course avant-pied / Modifier sa foulée

La foulée d'un marathonien aguérri se caractérise par son attitude dynamique et son attaque avant pied, au contraire de la plupart des coureurs qui s'attaquent au talon. 

Alors vous, vous courez comment ?

Une question qui nécessite souvent un temps de réflexion. Faites le test autour de vous pour vous en rendre compte, la réponse ne vient pas aussi spontanément qu’il pourrait sembler car beaucoup de coureurs ne savent pas quel type de foulée ils emploient. Ils chaussent leurs baskets et partent courir tout simplement, se souciant peu du reste. Pourtant, selon la technique utilisée, on gère différemment les contraintes liées à la pratique de la course à pied, à commencer par la force de réaction au sol. Quelques bonds sur place, pieds nus, qui s’effectuent spontanément sur l’avant-pied, permettent de ressentir très facilement qu’une telle prise d’appui nous assure une meilleure gestion de l’impact qu’une prise d’appui talon. À tel point que le simple fait d’imaginer se réceptionner sur les talons nous crispe, de peur d’avoir mal en raison de l’onde de choc douloureuse que cela produit, nous faisant atterrir brutalement sur le sol sans aucune maîtrise ou alors requérant une gestuelle très coûteuse énergétiquement et peu efficace.

Au-delà de l’amortissement, le dynamisme des appuis dépend de la puissance des mollets (force et vitesse de contraction). Dès lors, passer à une prise d’appui avant-pied permet de développer une foulée plus puissante en ajoutant dès la prise d’appui un groupe musculaire supplémentaire, le mollet. Un groupe musculaire que l’on étire lors de la phase d’amortissement, tel un ressort, et qui restitue la force ainsi emmagasinée lors de la propulsion. Que rêver de plus !

Un corps se construit dans la durée. Cela nous amène donc directement à la notion de transition. Un temps de transition pour passer d’une technique de course à l’autre afin de laisser le temps à l’organisme de se renforcer pour pouvoir supporter cette nouvelle localisation des contraintes. Ce n’est donc pas parce que vous êtes coureur talon de longue date que vous serez à même de courir avant-pied. Il faut considérer la course avant-pied comme une nouvelle discipline sportive.

 

Cela est-il adapté à tout le monde ?

Lorsque l’on a compris qu’il faut considérer cela comme une autre discipline sportive, que les contraintes s’appliquent différemment, que le corps se renforce progressivement face à un entraînement, et que cela nécessite donc un temps d’adaptation… Alors, en dehors de toute pathologie ou malformation, pourquoi ne le serait-elle pas ? Quelle technique de prise d’appui devrait-on enseigner à l’école ? Cela trouve difficilement un écho dans les institutions où l’apprentissage de la course à pied se résume à l’endurance et la vitesse et occulte tous les paramètres techniques. 

 

Comment faire ?

Pour cela, vous allez incorporer dans vos entraînements des séances spécifiques dédiées à la course avant-pied qui vont renforcer votre corps et vous permettre d’acquérir le geste technique qui, vous l’avez compris, diffère totalement. Cela commence par l’acquisition du déroulé du pied qui ne s’effectue plus du talon vers l’avant-pied mais de l’avant-pied vers le talon, avant de repartir vers l’avant du pied ; il s’opère un aller-retour. Pour ressentir et acquérir ce déroulé du pied, il suffit, pieds nus, de marcher sur place. Spontanément, à chaque pas, vous venez prendre appui à partir de l’arche antérieure du pied, la partie qui est à la base de vos orteils. Puis vos orteils s’abaissent pour venir au contact du sol et, simultanément, vous contrôlez la descente du talon jusqu’à ce qu’il vienne effleurer le sol. Cette première phase du déroulé du pas correspond à la phase d’amortissement mais c’est également durant cette phase que l’on met sous tension le mollet tel un ressort. 

On emmagasine au sein du mollet ce que l’on nomme l’énergie potentielle élastique qui s’ajoutera à la contraction lors de la phase de propulsion, dynamisant comme nous l’avons précédemment évoqué la foulée. Durant cette seconde phase, le talon décolle au fur et à mesure que le pied pivote autour de l’arche antérieure en appui, jusqu’à ce qu’elle décolle à son tour suivie des orteils qui quittent le sol en dernier. Aussi surprenant que cela puisse paraître, la part technique du geste s’acquiert chez soi, au calme, en marchant et courant sur place. Ainsi, vous serez en mesure d’acquérir toutes les subtilités liées à cette technique de prise d’appui et serez à même de la mettre en pratique plus facilement à l’extérieur.

 

Quelle chaussure ?

Très bonne question ! Permettez-moi cette légère digression, les chaussures comportant un amorti talon ne laisseraient-elles pas croire finalement que notre organisme ne serait pas adapté à la pratique de la course à pied… ou que la course talon serait délétère pour notre organisme puisqu’elle ne pourrait être pratiquée « sainement » que chaussée de chaussures comportant un amorti au niveau du talon ? Dernière remarque, si l’on nous vend aujourd’hui des chaussures dites pour la foulée naturelle, comment se nomme l’autre type de foulée ? Artificielle ? Lorsque l’on passe à une foulée avant-pied, l’amorti au niveau du talon devient inutile, voire encombrant. Encombrant car, quel que soit le drop (différence de hauteur entre le talon et l’avant-pied), il nous empêche de descendre le talon pour qu’il vienne effleurer le sol. Cette descente du talon est déterminante lors de la transition car elle permet de diminuer les contraintes qui s’exercent au niveau du pied, du tendon d’Achille, du mollet… Pour comprendre cela, faites le test suivant : courez sur place en maintenant les talons haut puis en les laissant descendre, vous devriez ressentir que le niveau de contraintes qui s’exerce au sein de la jambe diffère nettement. De plus, la présence d’un talon au niveau de la chaussure favorise l’attaque talon ! Placez votre pied à l’horizontale et vous vous apercevrez que le talon de la chaussure est la partie la plus proche du sol. D’où l’intérêt des chaussures zéro drop, que je conseille pour acquérir cette gestuelle. 

Par ailleurs, la qualité de la foulée dépend également de la perception que l’on a de notre prise d’appui. Plus vous placez une semelle épaisse sous le pied, plus vous endormez vos sensations. Il suffit de regarder l’Homonculus sensitif, un mot charmant soit dit en passant, pour se rendre compte que nos pieds possèdent énormément de capteurs sensoriels sous la plante, comparativement au reste de la jambe. Le pied nous renseigne sur la qualité du sol sur lequel on prend appui (dureté, température, humidité…) mais également sur la qualité de notre prise d’appui. Le feed-back dépend de la finesse de la chaussure, d’où l’intérêt des chaussures minimalistes, tout en sachant que passer d’une chaussure rigide à une chaussure souple demande également un temps d’adaptation car le pied doit retrouver progressivement sa mobilité, sa souplesse. Pour cela, commencez par marcher à la maison pieds nus et avant-pied !

 

Demandez plus de conseils à votre Chiropracteur, il saura personnaliser votre transition et adapter les efforts 

Et une médaille de bronze !

Suivis toute l'année par Nicolas Jeanney, les hockeyeurs Les Pélicans, de La Rochelle, se sont offert la médaille de Bronze aux championnats nationaux de roller hockey à Besançon le mois dernier. 

"C'est avec fierté que je reçois cette médaille de la part de Jean Marc Brand, le président du club, que je remercie pour m'avoir fait confiance" NJ

"C est amplement mérité car tu as été un soutien formidable lorsque les joueurs souffraient durant cette longue saison. Et tu nous démontré l utilité de la CHIROPRACTIE. Merci" JMB

En prime, la saison prochaine, le club évoluera en Nationale 1 !

Cinq conseils pour réduire les douleurs lombaires à vélo

1. Allez-y mollo

Si vous vous entraînez pour faire une course ou simplement pour vous améliorer, n’en faites pas trop. Lors de longs parcours, faites des pauses au besoin, hydratez-vous et faites quelques étirements ou mouvements. Demandez conseils à votre chiropracteur

2. Le bon vélo

Excursion, course sur route ou tout-terrain – il existe des vélos pour tous les cyclistes. Assurez-vous que le vôtre correspond à vos besoins. Où faites-vous du vélo ? Sur quel type de terrain ? Sur quelle distance ? Recherchez-vous le confort ou la vitesse ? Lorsque vous achetez un nouveau vélo ou faites réparer votre vélo actuel, demandez qu’on vous l’ajuste à votre taille.

3. Posture

Lorsque vous pédalez, maintenez votre colonne en position neutre. Penchez-vous au niveau des hanches et évitez le dos rond. Si possible, évitez les mouvements excessifs du haut du corps et utilisez votre dos comme un pivot.

4. Musculation du tronc

Des muscles abdominaux et dorsaux bien entraînés favorisent le soutien du haut du corps en vélo et minimisent le balancement excessif. Votre chiropracteur peut vous conseiller des exercices ciblés qui contribueront à renforcer le tronc et des exercices plus généraux de mise en forme.

5. Réglage du vélo à votre taille

Des ajustements mineurs peuvent faire une différence énorme. La position du corps diffère selon le type de vélo. Toutefois, ce visuel illustre quelques réglages généraux qui favorisent une posture détendue et confortable à vélo.

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